Adiós a Nihil Obstat | Hola a The Catalán Analyst





Después de 13 años de escribir en este blog prácticamente sin interrupción, hoy lo doy por clausurado. Esto no quiere decir que me haya jubilado de la red, sino que he pasado el relevo a otro blog que sigue la misma línea de Nihil Obstat. Se trata del blog The Catalán Analyst y de la cuenta de Twitter del mismo nombre: @CatalanAnalyst . Os los recomiendo.



Muchas gracias a todos por haberme seguido con tanta fidelidad durante todos estos años.


lunes, 31 de diciembre de 2012

Souha Arafat: "La Intifada del 2000 fué premeditada"

Souha Arafat, la viuda de Yasser Arafat, reconoció en una entrevista en Dubai TV que fue el antiguo líder palestino el que promovió la brutal Intifada del año 2000 que estalló tras el fracaso de las negociaciones de paz de Camp David. De este modo, la viuda de Arafat contradice la versión "oficial" de una reacción espontánea a la visita de Ariel Sharon a la explanada de las mezquitas. Queda claro, pues, que la Intifada armada del 2000 fue -como muchos estábamos convencidos- una decisión premeditada de Arafat.

viernes, 28 de diciembre de 2012

Aliaa Magda Elmahdy desnuda contra el régimen de Mursi

La activista egipcia Aliaa Magda Elmahdy y dos militantes del grupo feminista Femen protestan contra la nueva Constitución de Egipto ante la embajada egipcia en Estocolmo.

Más información, aquí.



lunes, 17 de diciembre de 2012

J'ai aussi

Carta abierta de Gérard Depardieu al
primer ministro francés Jean-Marc Ayrault



Traducción al español, aquí.

sábado, 15 de diciembre de 2012

¿El fin de la libertad de expresión?

LA REVOLUCIÓN NATURALISTA.- Algo está minando la libertad de expresión en las naciones occidentales y no es ningún caudillo tradicionalista, ningún autócrata musulmán, ni las odiosas "leyes contra la blasfemia".

George Lukianoff es el presidente del think tank FIRE (Foundation for Individual Human Rights) y el autor de un libro reciente en el que analiza el clima de censura política y cultural que viven las universidades norteamericanas.

Según un estudio de FIRE, hasta el 65% de los principales institutos norteamericanos mantienen "códigos de expresión" (speech codes) que violan los principios constitucionales de la primera enmienda, favorable a cosas en aparente desuso como la libertad de expresión. Los temas que con mayor probabilidad pueden costarle problemas a un alumno o a un profesor tendrían que ver realmente con tres dogmas del consenso liberal: políticas de discriminación positiva, matrimonio homosexual, o derecho al aborto.

martes, 27 de noviembre de 2012

Los efectos positivos de la reforma laboral empiezan a notarse

Compétitivité : l'Espagne défie la France


Aujourd'hui homme malade de l'Europe, demain nouveau conquistador? Les sacrifices endurés par l'Espagne depuis près de deux ans commencent à produire leurs effets. Le coût du travail se réduit au point que l'industrie espagnole défie désormais les entreprises françaises sur la scène internationale et en incitent d'autres à se délocaliser dans la péninsule ibérique. La décision de Renault (Le Monde du 15 novembre), dont Mariano Rajoy s'est félicité mercredi 21 novembre, d'augmenter la production dans ses usines de Palencia, Valladolid et Séville, est une nouvelle illustration de l'attraction retrouvée de l'Espagne.

En échange des sacrifices auxquels ont consenti les syndicats ibériques, la marque au losange devrait, en dix ans, créer 1 300 emplois dans le pays. En France, à l'issue des négociations en cours avec les partenaires sociaux, l'ex-Régie pourrait "s'engager à ne pas fermer d'usines".

Pour Patrick Artus, chef économiste chez Natixis et professeur à l'école Polytechnique, Renault n'est qu'un exemple parmi d'autres et il faut s'en inquiéter. "La menace est là, dit-il, l'Espagne va "manger" la France !"

Mois après mois, Madrid gagne des points à l'export, bien souvent au détriment de la France. Selon les chiffres publiés mercredi, le déficit commercial de l'Espagne s'est encore réduit en septembre de 36,4 % sur un an. La balance des comptes courants pourrait redevenir excédentaire en 2013, selon le ministère de l'économie. Et l'Espagne affiche déjà un excédent commercial avec la France, observent les experts de Natixis.

"IL Y A EU UN CHANGEMENT DE MENTALITÉ"

Sur le terrain, les professionnels constatent, de fait, que, depuis quelques mois, les entreprises espagnoles sont devenues plus "agressives ". "Il y a eu un changement de mentalité", confirme Fernando Fernandez, économiste à l'IE Business School à Madrid.

Confrontés à l'effondrement de la demande intérieure et à la quasi-disparition du secteur de la construction dans le pays, les industriels ont cherché des débouchés hors de leurs frontières. Et contrairement à la Grèce, le pays dispose d'un tissu d'entreprises capables d'exporter.

Les économistes signalent ainsi que l'amélioration de la balance commerciale espagnole n'est pas, contrairement à ce qui est observé à Athènes, un phénomène en trompe l'oeil, uniquement imputable à la chute des importations mais – "à 20 %", selon M. Artus – aussi le fruit d'une hausse des exportations.

A Bercy, on se veut flegmatique. "Que les pays comme l'Espagne ou l'Italie, après une purge, commencent à aller mieux. On ne peut que s'en réjouir", assure un proche du ministre de l'économie.

Sauf que ces entreprises conquérantes ont souvent face à elle l'offre "made in France". Nos productions sont dans la même "gamme", avec un avantage pour l'Espagne lié au regain de compétitivité de son économie.

"LE TROISIÈME MARCHÉ LE PLUS FLEXIBLE D'EUROPE"

En rythme annuel, la productivité des salariés espagnols s'est améliorée de 4 %, contre 1 % en France. Et, "entre 2008 et le deuxième trimestre de cette année, les coûts salariaux unitaires dans l'industrie ont reculé de 9,8 % en Espagne quand ils augmentaient de 5,3 % en France", notent les experts de Coe-Rexecode dans une note publiée lundi.

Les réformes menées par le gouvernement conservateur de Mariano Rajoy, pour supprimer les rigidités du marché du travail, constituent un premier élément d'explication. Dans un rapport, "Espagne, la politique de l'espoir", David Finch, chez Exane BNP Paribas, rapporte que "selon Eurostat, le marché du travail en Espagne est devenu le troisième marché le plus flexible d'Europe".

Mais la baisse du coût du travail est d'abord le résultat de la crise. Le chômage de masse a obligé à la modération salariale et encouragé le travail au noir où les minima horaires et salariaux ne sont pas toujours respectés.

En France, les petits entrepreneurs commencent à s'en émouvoir. En particulier du côté de Bayonne où, dans le secteur de la construction et des transports, "les Espagnols raflent de plus en plus de marchés", observe André Garreta, président de la chambre de commerce et d'industrie de Bayonne-Pays basque.

Selon lui, la compétition n'est pas équitable : "Nous jouons un match de rugby où les deux équipes n'ont pas les mêmes règles. En France, une fiche de paie comporte vingt lignes de retenues harges pesant sur l'employeur]. En Espagne, c'est trois."

De quoi augmenter la pression pour accélérer les réformes en France ? "Nous n'avons pas de pétard dans le pantalon, répond un proche du ministre de l'économie. Les réformes sont faites par nous et pour nous. Pas en fonction des autres."

FAIBLESSES DE L'ÉCONOMIE

L'amélioration de la compétitivité espagnole ne doit pas faire oublier les faiblesses de l'économie. Même s'il abrite de grands groupes comme Inditex (Zara), le tissu industriel du pays est constitué en majorité de petites entreprises, moins performantes à l'exportation que les géants français du CAC 40, signale Laurence Boone chez Bank of America Merrill Lynch.

Le système éducatif reste mal noté et, malgré les promesses du gouvernement, le budget de la recherche et développement a diminué de 25 % en 2012 et devrait perdre encore 7 % en 2013.

Les experts redoutent aussi que les tensions politiques entre Madrid et les régions ne s'enveniment. Sans oublier que le pays, où 25 % de la population active est au chômage, est au bord de l'explosion sociale.

El precio del autoengaño

Lo que le ha pasado a CiU en las elecciones del domingo es la consecuencia de haber confundido la realidad con la fantasía. La manifestación del once de septiembre se le subió a la cabeza a Artur Mas. Se creyó la falsedad que un millón y medio de catalanes habían salido a la calle a reclamar la independencia y quiso capitalizarlo para pasar a la historia. Enloqueció y nadie se atrevió a decirle la verdad. Unos, la mayoría, porque también se lo creyeron o les interesaba creérselo y, otros, los menos, porque no se atrevieron a hacerlo.

La manifestación del 11 de septiembre fue una de las más grandes que se han hecho nunca en Catalunya desde la transición democrática, pero no reunió ni de lejos un millón y medio de personas. Una manifestación no es una opinión. Es un hecho y, como tal, medible. Si se hubiera querido hacer el cálculo se habría comprobado que el número de personas que físicamente cabían en las calles que llenó la manifestación oscilaría entre los 300.000 y el medio millón de personas, según la densidad. Una cifra respetable pero de la que no se podían sacar las mismas consecuencias políticas que si el número de manifestantes hubiera sido el triple.

El problema es que casi todo el mundo se quiso creer el espejismo. ¡Era tan bonito! Y el presidente, abandonando su responsabilidad, decidió también evadirse de la realidad y soñar. Artur Mas optó por la épica, la exaltación y el patetismo, abandonando la racionalidad, la cordura y la mesura. Actuó como un aprendiz de brujo, desatando fuerzas que no pudo controlar y que han acabado engordando a sus rivales políticos, especialmente ERC.

La aventura de Artur Mas ha erosionado su partido, fragilizado la federación nacionalista y ha dado un golpe, quizá mortal, al catalanismo moderado. El delirio de Mas ha dejado un Parlamento fragmentado y difícilmente gobernable, complicando aún más la salida de la crisis y el futuro del país.

Si tuviera un mínimo de inteligencia, de vergüenza y de decencia, ya habría dimitido.

CARICATUNYA

miércoles, 21 de noviembre de 2012

La gran mentira de la guerra de Gaza

Estos días vuelve a ocupar las pantallas de televisión una historia más vista que el tebeo. Una reiteración de la misma noticia de siempre y de la que la prensa socialdemócrata -que es prácticamente toda- no parece querer aprender nada.

La historia que repiten es ésta: los buenísimos palestinos tiran unos cuantos petardos que no hacen daño a casi nadie mientras que los malos israelíes reaccionan desproporcionadamente matando decenas de personas, especialmente mujeres y niños, lo que obliga a la comunidad internacional a intervenir para lograr una tregua que detenga la máquina de matar judía.

Quizás sería hora ya de que algún periodista se atreviera a dejar de repetir incansablemente esta misma historia y nos explicara que las milicias radicales palestinas llevan 12 años bombardeando territorio israelí; que en todo este tiempo han lanzado más de 12.000 proyectiles, inicialmente caseros pero progresivamente -gracias a Irán, vía Hezbollah- más sofisticados y con más poder destructivo, alargando su alcance hasta llegar a Tel Aviv y Jerusalén.


Quizás sería hora ya de que algún periodista se atreviera a explicar que los milicianos palestinos utilizan a la población civil como protección, como escudos humanos, lo que está estrictamente prohibido por las Convenciones de Ginebra, pero que nadie las menciona cuando los que las violan son los palestinos.

Quizás seria necesario que algún periodista nos explicara también que de los 1.130 proyectiles disparados por Hamas en la última semana 121 han caído en territorio palestino; que el niño muerto de 4 años Mahmoud Sadallah -llevado en brazos por el líder de Hamas durante la visita a Gaza del primer ministro egipcio para que la imagen diera la vuelta al mundo- no fue víctima de un ataque israelí sino de las milicias palestinas de Hamas, como ha revelado The Telegraph y reconocido The New York Times.


Quizás seria necesario que algún periodista nos explicara que los líderes palestinos y més aún los de Hamas no quieren la paz sino la destrucción de Israel y que sus gobiernos son corruptos y dictatoriales, como denuncian las mismas organizaciones palestinas de derechos humanos.

Quizás seria necesario que algún periodista nos explicara que Hamás no es una organización pacífica, humanitaria y progresista que lucha contra la ocupación israelí sino una de las peores organizaciones terroristas y criminales del mundo. Una organización asentada en la banda de Gaza -que Israel desocupó en septiembre del 2005- y que en lugar de aprovechar la posesión del territorio para construir estructuras democráticas de estado lo único que ha hecho ha sido cavar trincheras, construir arsenales y acoplar plataformas de lanzamiento de cohetes camufladas en barrios populares y edificios públicos y privados con el único objetivo de atacar Israel. Una organización mafiosa que gobierna autocráticamente, vulnerando de manera sistemática todos los derechos y libertades de su población.

El pasado martes, por ejemplo, un grupo de terroristas de Hamas detuvieron a 6 residentes de Gaza a los que acusaron de ser "espías" de Israel. La acusación era probablemente falsa, pero nunca se sabrá. Los hicieron subir en un camión y los trasladaron a la zona mas concurrida de la ciudad de Gaza. Los bajaron del camión, los obligaron a tumbarse en la calle y luego les dispararon a quemarropa (video). Por si esto fuera poco, pisaron y escupieron sobre los cadáveres y un grupo de motoristas arrastró a uno de ellos atado por los pies por varias calles de la capital (video).


Quizás seria necesario que algún periodista se atreviera a denunciar la hipocresía de tantos supuestos solidarios que no tardan ni un minuto en movilizarse contra Israel o los EEUU pero que no han movido un sólo dedo contra el dictador Al Assad y en apoyo de las víctimas civiles -que se cuentan por cientos cada día- del conflicto sirio.



Finalmente, seria necesario que algún periodista se atreviera a explicar que este conflicto no tiene solución mientras los palestinos sigan dominados por líderes antidemocráticos que no acepten realmente la existencia del estado de Israel y que la comunidad internacional, con las Naciones Unidas en frente, es la gran responsable de la gangrena de este conflicto por no haber aceptado la amputación definitiva en su momento.

lunes, 12 de noviembre de 2012

¿Tan lejos estamos de la modenidad?


Las mentiras de Vicenç Navarro

Crítica demoledora del artículo "La estafa de la deuda pública" de Vicenç Navarro, Catedrático de Economía Aplicada por la Universidad de Barcelona, Catedrático de Ciencias Políticas y Sociales en la Universidad Pompeu Fabra de Barcelona y profesor de la Johns Hopkins University (Baltimore, USA) durante 35 años, y uno de los grandes gurús de la progresía más desinformada y desinformante de este país.

miércoles, 7 de noviembre de 2012

Obama bis, el retorno del capitalismo americano


L'économie seule, expliquait Bill Clinton ( The economy, stupid !), vainqueur de George Bush père, en 1992, détermine les électeurs américains. Bush, contre toute attente, avait chuté en raison d'une récession. Obama, à son tour, aura bénéficié de la reprise incontestable de la croissance et de l'emploi aux Etats-Unis. Malgré les dénégations de Mitt Romney et des Républicains, il était évident -et les Américains le ressentent comme tel ( le retour de la confiance est manifeste dans les sondages depuis trois mois )- que la prospérité est de nouveau au coin de la rue, que la machine à créer des emplois a redémarré. La campagne de Mitt Romney s’en trouvait quelque peu décalée.

Dans quelle mesure cette reprise résulte-t-elle des dépenses publiques engagées par le gouvernement Obama et des prêts à taux quasi nul octroyés par la Banque fédérale ? Les fervents de l'Etat s'en attribueront le succès; les partisans du libre marché protesteront que la croissance aurait été plus forte si l'Etat ne s'en était pas mêlé. Ces deux écoles ne sont pas réconciliables puisqu'en économie, on peut rarement répéter les expériences. Admettons tout de même qu'Obama aura eu de la chance, cet ingrédient essentiel aux carrières politiques, puisque le calendrier de l'élection a coïncidé avec des indices à la hausse.

Par-delà une querelle indépassable entre deux doctrines économiques, se situant toutes deux à l'intérieur du capitalisme et pas en opposition à l'économie de marché, les camps devraient s'accorder sur le temps long et les causes lointaines de toute croissance retrouvée. Ainsi, aux Etats-Unis, en dehors des élections, se sont produits en 2012, deux événements au moins aussi signifiants que les scrutins. Le nombre des brevets enregistrés au Bureau national des brevets à Washington s'est élevé à près de 100 000 et les sommes accumulées par les sociétés de capital risque ont atteint en moyenne 72$ par habitant, contre 7$ en Europe. Si l'on envisage que les brevets d'aujourd'hui seront les produits et services de demain et que les entrepreneurs en herbe n'auront pas trop de difficulté à financer leur aventure, on en conclura sans trop de marge d'erreur que l'économie américaine dépassera l'an prochain son taux de croissance actuelle de 2%, ce qui est déjà pas si mal, et que le taux de chômage descendra notamment en-dessous de 8%, le chiffre actuel, déjà inférieur à la plupart des pays européens.

En 2013, la dépression financière qui avait commencé en 2008 devrait être définitivement résorbée et les Etats-Unis retrouveront leur rôle, solidement acquis depuis un siècle, de moteur de l'économie mondiale. On ne voit d'ailleurs pas qui pourrait leur ravir la place, aussi longtemps que l'Europe ne sera pas dirigée de manière cohérente en dynamique (ce qui va exiger un peu de temps si j'en juge par le médiocre rapport Gallois) et que les pays dits émergents resteront des sous-traitants des Etats-Unis?

Ces heureux résultats envisageables, le nouveau Président élu en revendiquera évidemment le mérite. Ou bien, risque-t-il de briser cette dynamique par une mauvaise gestion des dépenses publiques et la dette budgétaire, de trop de réglementation environnementale et sociale ? Obama va-t-il se radicaliser à gauche au risque de décourager les entrepreneurs ou deviendra-t-il plus réaliste ? En vrai, il n'aura d'autre choix que celui de la négociation puisque la Chambre des Représentants reste Républicaine. Le compromis est donc inévitable et plus accessible, de part et d'autre, puisque l'élection est passée. Probablement, les dépenses publiques seront-elles modérées, plus de solidarité sociale sera acceptée par tous les partis et le déficit budgétaire ira-t-il diminuant mais, mécaniquement, en raison même de la croissance. Quant aux entrepreneurs qui avaient espéré Romney -en finançant tout de même les deux candidats, par précaution- ils s'accommoderont désormais d'Obama, l'important en économie étant moins celui qui gouverne que la stabilité relative du paysage fiscal, social et réglementaire: cette stabilité semble mieux acquise. Et ce qui est bon pour l'économie aux Etats-Unis , jusqu'à plus ample informé, profite au reste du monde.

domingo, 28 de octubre de 2012

Salmond, pillado

Los abogados que asesoran al gobierno de Escocia aseguran que siempre dijeron al primer ministro Alex Salmond que el futuro de una Escocia independiente dentro de la Unión Europea no era automático y que era un "objetivo político" que requería "negociaciones detalladas", según publica The Independent on Sunday.

Via Caricatunya




jueves, 25 de octubre de 2012

Las 12 gran mentiras sobre la crisis

1.- La causa de la crisis es por el dinero que se ha dado para el rescate de los bancos.

2.- La culpa es del excesivo endeudamiento promovido por los bancos.

3.- Con más impuestos o acabando con el fraude fiscal se podría acabar con el déficit público y no habría que hacer recortes

4.- La culpa de la crisis es de la política de recortes. Los recortes del gasto público producen un descenso de la demanda y más desempleo que genera más déficit y necesidad de nuevos recortes. Son necesarias políticas de crecimiento.

5.- Si el Estado se apropiase de los beneficios de los bancos (ya sea nacionalizándolos o aumentando los impuestos) y los dedicase a crear empleo la crisis se paliaría enormemente.

6.- La culpa de la crisis en España es de la crisis internacional provocada por los bancos de USA y de los alemanes que nos quieren exprimir.

7.- Si dejásemos de pagar a los alemanes no habría que hacer recortes.

8.- Los recortes van a acabar con la sanidad y la educación públicas.

9.- Las agencias de rating y los bancos ingleses, alemanes, yankis conspiran contra nosotros y nos atacan rebajándonos la calificación crediticia y subiendo la prima de riesgo para enriquecerse.

10.- Sería preferible que los recortes se realizasen con más lentitud porque si se recorta rápidamente se asfixia la economía.

11.- La degradación de las condiciones laborales ha causado una disminución de la demanda que genera más desempleo y empeora más el mercado laboral provocando un circulo vicioso de inseguridad laboral, bajos salarios y baja demanda que impide salir de la crisis.

12.- Los culpables de la crisis son las políticas neoliberales y la globalización.

La respuesta a la falsedad de estas afirmaciones la encontrareis aquí.
(Via)


El sueldo de los empleados públicos es un 30% superior a la media





martes, 23 de octubre de 2012

El PSOE creó en Andalucía una administración pública paralela y no fiscalizada con 26.000 "enchufados"

Andalucía ha creado una administración en negro, en B. Una administración paralela y no fiscalizada de manera regular de más de 130 consorcios, agencias, empresas, fundaciones o institutos impulsados por los Gobiernos del PSOE de Manuel Chaves y José Antonio Griñán en las dos últimas décadas.

Ahí trabajan un mínimo de 26.000 personas que los sindicatos de funcionarios denomina enchufados, pues nunca han pasado pruebas de selección para acceder a esos empleos. La gran mayoría de ellos están vinculados a PSOE, UGT y CCOO.

Se trata una Junta de Andalucía bis sobre la que el Ministerio de Hacienda ha puesto la lupa



Del cambio climático ya sólo habla Tomás Molina



Antón Uriarte:
El Cambio Climático no ha sido mencionado ni una sola vez en el tercer y último debate entre Romney y Obama dedicado a política internacional. El supuesto peligro global ha quedado relegado y olvidado. Habría tocado a Obama sacar el tema. Hace cuatro años prometía a la humanidad, al modo de Moisés y en oposición al Rey Canuto, salvarnos de las aguas y de la inundación oceánica.

Ahora ha preferido que en el final de campaña prime el slogan de Biden "Osama Bin Laden está muerto y General Motors está viva". Avívese la fabricación de automóviles y aumentemos la producción de combustibles fósiles. Más independencia y más barata calefacción, electricidad y gasolina.

Todo lo contrario de lo que ha venido predicando y de lo que en la retrasada Europa se sigue predicando todavía.

Pero el debate ha servido también, una vez más, para evidenciar la política internacional hipócrita, cobarde y mezquina que ha practicado Obama durante su primer -y esperamos que último- mandato presidencial.

La política internacional de Obama en zonas de conflicto ha consistido, a diferencia de Bush, en no dar la cara y en "dirigir desde atrás" las intervenciones militares. Una estrategia que sería buena si no fuera porque la mayoría de las veces no funciona.

Mientras Bush abrió uno de los debates políticos, militares y diplomáticos más intensos de la historia reciente al llevar su propuesta de derrocar a Saddam Hussein al Consejo de Seguridad de la ONU, Obama ha optado por desaparecer de la escena pública y actuar de escondido, como Don Vito Corleone.

Mientras que la guerra de Irak fue retransmitida en directo, segundo a segundo, durante seis años por todos los medios de comunicación del mundo, los asesinatos selectivos de Obama quedan en la penumbra, cuando no en la oscuridad más absoluta. Salvo, claro está, cuando la víctima sirve para ponerse medallas, como es el caso de la merecida muerte de Osama bin Laden.


jueves, 18 de octubre de 2012

Obama, el rey desnudo

El espejismo Obama se ha desvanecido del todo. No ha resistido ni un solo mandato. Y aunque la economía, como suele ser habitual, será la que diga la última palabra en las elecciones del próximo 6 de noviembre, Obama ha ido renunciando a todo, desde el cierre de Guantánamo a la lucha contra las emisiones de CO2, hasta a convertirse en el rey desnudo.

Durante su mandato, Obama se ha visto obligado a ser más realista y pragmático. Y eso le ha hecho perder apoyos entre sus desencantados seguidores.

La deserción del voto femenino es un ejemplo claro. La intención del voto de las mujeres cae en los Estados clave a un 49% para Obama y asciende a un 48% para Romney, mientras que el voto masculino es de un 44%  favorable a Obama y un 52% para el republicano.

El voto judío, tradicionalmente demócrata, también le falla. Un 44% por ciento del electorado judío opta por Romney y un 40% por Obama.

Algo parecido ocurre entre los hispanos. En Florida, la intención de voto para Obama ha caído del 52% al 44%, mientras que la de Romney han subido del 43 al 46%.

En las zonas rurales, tradicionalmente republicanas, Romney tiene una intención de voto del 59% contra el 37% de Obama, que retrocede un 10% respecto a 2008.

martes, 16 de octubre de 2012

¿Cómo hacer frente a la desigualdad sin perjudicar el crecimiernto?

The Economist
The priority should be a Rooseveltian attack on monopolies and vested interests, be they state-owned enterprises in China or big banks on Wall Street. The emerging world, in particular, needs to introduce greater transparency in government contracts and effective anti-trust law. It is no coincidence that the world’s richest man, Carlos Slim, made his money in Mexican telecoms, an industry where competitive pressures were low and prices were sky-high. In the rich world there is also plenty of opening up to do. Only a fraction of the European Union’s economy is a genuine single market. School reform and introducing choice is crucial: no Wall Street financier has done as much damage to American social mobility as the teachers’ unions have. Getting rid of distortions, such as labour laws in Europe or the remnants of China’s hukou system of household registration, would also make a huge difference.

Next, target government spending on the poor and the young. In the emerging world too much cash goes to universal fuel subsidies that disproportionately favour the wealthy (in Asia) and unaffordable pensions that favour the relatively affluent (in Latin America). But the biggest target for reform is the welfare states of the rich world. Given their ageing societies, governments cannot hope to spend less on the elderly, but they can reduce the pace of increase—for instance, by raising retirement ages more dramatically and means-testing the goodies on offer. Some of the cash could go into education. The first Progressive era led to the introduction of publicly financed secondary schools; this time round the target should be pre-school education, as well as more retraining for the jobless.

Last, reform taxes: not to punish the rich but to raise money more efficiently and progressively. In poorer economies, where tax avoidance is rife, the focus should be on lower rates and better enforcement. In rich ones the main gains should come from eliminating deductions that particularly benefit the wealthy (such as America’s mortgage-interest deduction); narrowing the gap between tax rates on wages and capital income; and relying more on efficient taxes that are paid disproportionately by the rich, such as some property taxes.

Different parts of this agenda are already being embraced in different countries. Latin America has invested in schools and pioneered conditional cash transfers for the very poor; it is the only region where inequality in most countries has been falling. India and Indonesia are considering scaling back fuel subsidies. More generally, as they build their welfare states, Asian countries are determined to avoid the West’s extravagance. In the rich world Scandinavia is the most inventive region. Sweden has overhauled its admittedly huge welfare state and has a universal school-voucher system. Britain too is reforming schools and simplifying welfare. In America Mr Romney says he wants to means-test Medicare and cut tax deductions, though he is short on details. Meanwhile, Mr Obama, a Democrat, has invoked Theodore Roosevelt, and Ed Miliband, leader of Britain’s Labour Party, is now trying to wrap himself in Benjamin Disraeli’s “One Nation” Tory cloak.

Such cross-dressing is a sign of change, but politicians have a long way to go. The right’s instinct is too often to make government smaller, rather than better. The supposedly egalitarian left’s failure is more fundamental. Across the rich world, welfare states are running out of money, growth is slowing and inequality is rising—and yet the left’s only answer is higher tax rates on wealth-creators. Messrs Obama, Miliband and Hollande need to come up with something that promises both fairness and progress. Otherwise, everyone will pay.

sábado, 13 de octubre de 2012

A ver cuando los griegos se manifiestan contra si mismos

Antes de conocerse el resultado final del ultimo registro, que terminó el 5 de Octubre, ya habían «desaparecido» de la Seguridad Social 52.189 pensionistas (es decir, personas cuyo fallecimiento no había sido registrado y cuyos parientes o conocidos seguían cobrando la pensión). De las cajas de pensiones de otros organismos se ha registrado la ausencia de otras 45.000 personas. ABC

Periodismo de kalidá, que diria Barcepundigt


jueves, 11 de octubre de 2012

CARICATUNYA, nuevo blog antinacionalista

 
 
***********


Independencia se ha convertido en la palabra talismán que debe resolver todos los problemas de Cataluña, al igual que en los años sesenta era la palabra Revolución, o en la Alemania de los treinta, Judío. Conceptos simples y simplistas que, sin querer equipararlos, sirven para identificar un culpable de todos los males e imponer la buena nueva redentora.

Pero, más allá de la magia de las palabras, la independencia de territorios que forman parte de estados miembros de la Unión Europea -todos ellos estados democráticos de derecho- no tiene ninguna justificación política racional. La independencia o secesión pueden estar justificadas en territorios bajo ocupación colonial o en situación de genocidio étnico, pero en el actual contexto europeo no es más que un delirio romántico que marcha justo en dirección contraria al espíritu europeísta, que no es otro que la erradicación del nacionalismo y la asunción de una ciudadanía europea común que, vertebrando el inmenso archipiélago de identidades del continente, haga imposible otra gran guerra.

Desde la caída del Muro de Berlín, el proyecto europeo se ha visto confrontado abiertamente a dos tendencias contrapuestas. Por un lado, la que insistía en la profundización previa de la unión. Por otra, la que, reticente a la pérdida de poder de los estados nacionales que hasta entonces era exclusiva del escepticismo británico, priorizaba la ampliación a las nuevas y viejas naciones del centro y el este de Europa.

Como suele ser habitual en la UE, en lugar de racionalizar las prioridades se optó por la vía salomónica de contentar a todos y hacerlo todo a la vez. Por un lado, se precipitó la unión monetaria cuando todavía no todos reunían las condiciones necesarias para hacerla, como hemos descubierto ahora dramáticamente. Por otro lado, se abrieron las puertas a nuevos estados miembros, pero sin haber reformado a fondo la arquitectura institucional de la Unión para hacerla operativa, ágil, eficiente y representativa.

De este modo, la UE se ha ampliado a 27 Estados miembros, cifra que podría llegar a 35 en un futuro más o menos lejano. No en vano, desde 1990 en Europa se han constituido 14 nuevos estados, algunos de los cuales ya lo habían sido y otros no (Lituania, Letonia, Estonia, Bielorrusia, Macedonia, Eslovenia, Moldavia, Croacia, Ucrania, Bosnia y Herzegovina, Chequia , Eslovaquia, Montenegro y Kosovo).

En este contexto, los líderes políticos de Cataluña, Escocia o Flandes manifiestan que aspiran también a convertir sus comunidades en nuevos estados europeos. Aspiración a la que -¿por qué no?- se podrían sumar en el futuro los nacionalismos bretón, corso, occitano, padano, sardo, tirolés, silesiano, prusiano, galés, istrio, magiar, ilirio o bávaro, conformando así un gigantesco y laberíntico rompecabezas político, étnico e institucional totalmente en las antípodas del proyecto de unidad europea.

¿Por qué? ¿Por qué la concepción fundacional de la Unión Europea, entendida como un proceso de supresión progresiva de barreras y de poderes estatales, está siendo debilitada por la recuperación de identidades nacionales (reales o imaginarias) con el fin de constituir nuevos estados soberanos de corto alcance ? ¿Es que alguien puede creer que el proyecto europeo puede sobrevivir a la creación de nuevos estados-nación que, lógicamente, querrán ejercer al máximo posible su estrenada soberanía, tal y como ocurre en gran medida con los estados que provienen del antiguo bloque soviético?

Algunas de las respuestas que se han dado a estas preguntas apuntan a que se trata de una reacción pasajera a la globalización, al rechazo a una construcción europea elitista, burocrática e insuficientemente democrática o al trauma de la experiencia soviética. Respuestas que seguramente no les son ajenas pero que resultan totalmente insuficientes para explicar la fuerza y ​​profundidad que están adquiriendo los movimientos identitarios, inequívocamente nacionalistas, así como toda una multitud de movimientos "alternativos" al sistema industrial, científico-técnico y representativo vigente.

Una respuesta más convincente es que se trata de algo más elaborado que una simple reacción a los problemas del momento. Que se trata, en realidad, de la expansión y arraigo de una concepción del mundo, de la vida, la moral y la sociedad, esencialmente romántica. Una especie de ideología neorromántica transversal que, por una parte, tiende a llenar el vacío cosmogónico, moral y sentimental dejado por el naufragio del comunismo y que, por otra, procura ofrecer remedios ancestrales al malestar que provocan en una ciudadanía infantilizada las inevitables limitaciones temporales del conocimiento científico y la formalidad de las instituciones de la democracia deliberativa. Un romanticismo que revaloriza todo lo que es casero y desconfía del universalismo y que exalta la voluntad personal y política por encima de la norma y del derecho.

Este renacimiento del espíritu romántico no es cosa de hace cuatro días. Reaparece públicamente hace cincuenta años, veinte años después de la Segunda Guerra Mundial, a través de los movimientos hippies y contraculturales de la década de los años sesenta y setenta. El retorno a la naturaleza y a las arcadias felices, la búsqueda de las patrias perdidas, el rechazo de la sociedad industrial y de las democracias representativas o la exaltación de la espontaneidad son la semilla que se injertaran en todos los movimientos alternativos posteriores, desde los movimientos identitaristas, étnicos o culturales, al ecologismo político y otros movimientos antisistema y antiglobalización.

Desde el punto de vista político, que es lo que aquí nos interesa, el neorromanticismo -en línea con el célebre jurista nazi Carl Smith- proclama que no pueden existir límites a la voluntad soberana del pueblo. Que en una auténtica democracia no puede existir nada por encima de esta voluntad mayoritaria, ni derechos naturales ni constitucionales que la condicionen. La democracia, la política, es el Estado total. Una concepción que choca frontalmente con la de las democracias liberales que, justo al contrario, se fundamentan precisamente en la limitación de todos los poderes y especialmente del poder de la mayoría, que es el único poder aceptado en las Constituciones modernas.

Para el neorromántico, la democracia es un fin en sí misma y no simplemente un medio para cambiar los gobiernos sin violencia. Para las democracias liberales la finalidad básica del poder político es garantizar los derechos y libertades de las personas para que puedan vivir, no como quiere la mayoría, sino como quieran y deseen ellas mismas (en un convento, en una comuna de amor libre, un kibutz, una comunidad rural y de trueque, en un loft con pareja de hecho o en un casa pareada con familia heterosexual e indisoluble), en la medida que esto les sea posible y siempre y cuando no quieran imponer a los demás su modelo de vida.

De estas dos concepciones del poder, la política y la democracia, la del neorromanticismo es la que ha asumido el nacionalismo catalán conservador, después de décadas de interesada ambigüedad. La voluntad del pueblo -real o supuesta- está por encima de todo: de la ley, del Estatuto, de la Constitución o de los Tratados Europeos. No hay reglas del juego que valgan o que haya que respetar. Se debe tomar el atajo.

Aunque está por ver que hará a la hora de la verdad, esta deriva exaltada del nacionalismo conservador es muy peligrosa. Y lo es por muchas razones, pero sobre todo porque pretende legitimar entre los ciudadanos la idea de que la bondad del fin justifica los medios, aunque sean ilegales. Una idea tan romántica como totalitaria.

jueves, 4 de octubre de 2012

Romney golea a Obama



Una encuesta de la CNN sobre quién ha sido mejor en el primer debate de las elecciones presidenciales en EEUU ha dado un 67% de opiniones favorables a Romney y un 25% a Obama.

Romney critica las subvenciones verdes y Obama no sabe responder


jueves, 13 de septiembre de 2012

Nunca se ha publicado una cifra de manifestantes que sea cierta

Desde la primera gran manifestación de la transición en Barcelona, la de la Diada de 1977, hasta la del pasado 11 de septiembre, pasando por manifestaciones contra ETA (asesinatos de Lluch o Blanco) o contra la guerra de Irak, nunca se ha publicado una cifra de participantes que sea cierta.

En esta gran mentira informativa que dura casi 35 años participan todos -instituciones, partidos, sindicatos, entidades ...- y, de manera especialmente vergonzosa, la prensa. Toda la prensa de Cataluña, tanto pública como privada.

En todos estos años, sólo ha habido un par de intentos de publicar la verdad. El primero, por parte del colectivo CONTRASTANT, que en paz descanse. Y el segundo y útimo, por parte de la efímera empresa Lynce.

Todas las mediciones de estas empresas indicaban inequívocamente que el techo de participantes en una manifestación en Barcelona se sitúa en torno al cuarto de millón de personas. Sin embargo, las cifras publicadas de particpación en las sucesivas manifestaciones han ido creciendo progresivamente, sin que se tenga constancia de que las calles se hayan ampliado en la misma proporción.

Este hecho ha creado una dinámica infernal en la que cada vez las cifras son más astronómicas. Si cuando eran 150.000 dijimos que había un millón, cuando son 250.000 debemos decir forzosamente que hay entre un millón y medio y dos. Y todos tan anchos.

El número de participantes en una manifestación no es una percepción subjetiva, es una cifra concreta. Y hay maneras de calcularla con una gran aproximación. Pero la verdad no parece interesar a nadie.

miércoles, 12 de septiembre de 2012

300.000 manifestantes como mucho

La manifestación ha terminado. ¿Pero había un millón y medio de personas como afirman sus partidarios? Lo contaremos con datos visuales sacados de TV3 a las 7'30 porque en este momento enseñaron una imagen clave.

La manifestación se concentró a lo largo del Paseo de Gracia desde la Gran Vía hasta los Jardines Salvador Espriu, pero como acudió mucha gente una gran cantidad de personas se fueron situando en las calles Mayor de Gràcia y a ambos lados de la Diagonal, así como en calles adyacentes al Paseo de Gracia. La marcha se inició hacia Pau Claris y Via Laietana y fue siguiendo por el Marqués de l'Argentera hasta la puerta del Parque de la Ciutadella.

Una imagen aérea de TV3 a las 7'30 mostraba como la zona del Llàpis (cruce de la Diagonal con el Paseo de Gracia) ya estaba vacía y que sólo quedaban grupos reducidos. O sea que la gran masa de personas de la zona se había integrado al curso general de la manifestación. Podemos afirmar, pues, que el grueso de los participantes esataban dentro del perímetro oficial de la manifestación, aunque también había gente en las calles adyacentes, pero con menos densidad.

En ese momento, desde la Plaza del Llàpis al Parque de la Ciutadella el recorrido era de 3'2 kilómetros y de 110.000m2, datos que cualquiera puede comprobar con la versión Pro de Google Earth. Este es el espacio en que se movían los manifestantes, metros cuadrados a los que deberíamos descontar árboles, bancos, parterres y espacios ocupados diversos.

Según el diario El País: "En manifestaciones con poca densidad, los expertos y Fuerzas de Seguridad coinciden en que la ocupación es de una persona por cada metro cuadrado. En manifestaciones con mucho densidad es de un máximo de cuatro".

110.000 m2 x 1 pers/m2 = 110.000 manifestantes 
110.000 m2 x 2 pers/m2 = 220.000 manifestantes 
110.000 m2 x 3 pers/m2 = 330.000 manifestantes 
110.000 m2 x 4 pers/m2 = 440.000 manifestantes 

Se debe tener en cuenta que estos resultados suponen una densidad constante a lo largo de la manifestación en el momento analizado, lo que no se produjo, ya que a las 7'30 zonas en colapso se alternaban con otras más tranquilas.

Con estos datos calculo que en el trayecto oficial de la manifestación participaron 275.000 personas (un promedio de ocupación de 2,5 personas por m2). Quedando por aclarar cuántas había fuera del circuito principal.

Si se puede comprobar que estoy equivocado y que la cifra real es de un millón y medio de personas encajadas dentro de 110.000 m2, ciertamente nos encontramos ante un fenómeno notable que el tal Guiness debería hacer constar en su libro para admiración de las futuras generaciones. J.B.

lunes, 10 de septiembre de 2012

Honduras construirá una "ciudad privada"

El gobierno de Honduras ha firmado un acuerdo con inversores extranjeros para la construcción de una "ciudad privada" en su territorio que tendrá sus propias leyes y sistema tributario.

La jurisdicción de Honduras sobre la "ciudad modelo" se limitará prácticamente a la defensa, las relaciones exteriores, la legislación electoral y la emisión de documentos de identidad y pasaporte.

El estatuto constitutivo y las leyes que regirán la ciudad modelo, así como los convenios que firmen, deberán ser ratificados por el gobierno de Honduras, según consta en la reforma Constitucional de 2011, que fue necesaria para allanar el camino al proyecto.

Una vez establecido su marco legal, la ciudad quedará a su aire para gobernar, administrar, firmar tratados, establecer su propia política monetaria, crear órganos de aplicación de la ley tales como tribunales y policía, hacer su presupuesto e incluso "contratar sus propias deudas internos o externos, siempre que sean sin el aval del Estado de Honduras ".

El proyecto está inspirado en la idea de la charter city del economista estadounidense Paul Romer.

jueves, 6 de septiembre de 2012

Imprescindible

Qué significa Israel para mí
Horacio Vázquez-Rial 

A mis veinte años, cuando yo era aún un hombre de la izquierda tradicional, miembro del Partido Comunista, tuvo lugar la Guerra de los Seis Días. Vivía entonces en mi barrio de adolescencia, el barrio judío de Buenos Aires, el Once. La mayoría de mis vecinos y amigos eran judíos, y buena parte de ellos pertenecía a la misma izquierda que yo. Ya por esa época, la fuerza de la propaganda judeófoba era inmensa y las posiciones antiisraelíes venían avaladas, además de por la prensa general, por la Unión Soviética, comprometida con los regímenes feudo-fascistas de los países árabes. Y la Unión Soviética formaba parte del imaginario utópico de mi generación –que no emprendería su tarea crítica hasta la represión de Praga de 1968– y del de la generación precedente, sobre todo en Buenos Aires, donde una mayoría de judíos rusos huidos de los pogromos del imperio granruso habían querido ver en los sucesos de 1917 una respuesta a sus plegarias, ignorando las terribles consecuencias que a veces tienen las plegarias atendidas. Es decir que, por una parte, uno abría los periódicos y se encontraba con un pestilente vómito antisemita, y hablaba con el vecino judío, progresista y deseoso de justicia, y se encontraba con el terrible argumento del antisionismo y de la fidelidad debida a la causa de los pueblos, como si Israel fuese ajeno a ese concepto. Empecé, pues, a discutir lo que aún hoy discuto. Lo curioso es que en los años sesenta, además de con los antisemitas de siempre, me veía obligado a discutirlo con judíos que estaban contra Israel, y no alcanzaba a comprender por qué.

Ellos tenían los mismos conocimientos que yo acerca de la situación, de la creación del Estado, y de la nefasta y soberbia actitud árabe. Poco antes, Les Temps Modernes, la revista que dirigía Sartre, había dedicado un número, el 233 bis, al conflicto árabe-israelí (nadie hablaba de palestinos, sino de árabes), y ese número había sido traducido al castellano en forma de libro. La historia misma de los acontecimientos entre 1917 y 1967 había sido narrada en incontables ocasiones. Pero yo defendía el derecho de Israel a existir y a desarrollarse, y mis amigos, entre los cuales predominaban los judíos de pensamiento avanzado, no. Probablemente haya sido la cuestión israelí uno de los determinantes de mi alejamiento del comunismo, debido en lo esencial al hecho de que la oposición al Estado judío –a su existencia misma– violaba todas las leyes de la racionalidad. Pero, sobre todo, porque violaba todas las normas de la tradición ético-estética de la que yo me sentía heredero, y que daba al progreso un lugar preponderante.

Los kibbutzim a los que se habían ido algunos amigos de infancia eran la realización de una utopía y, a diferencia los sovjoses de la impenetrable URSS –donde algunos afirmaban que se estaba realizando un sueño con la fe del carbonero–, se los podía visitar, y hasta se podía trabajar en ellos sin ser judío.

Aún no había leído yo a Malraux, que me llegaría un par de años más tarde. No conocía pues, aquella sentencia suya que posteriormente sería norma para mi vida: "Todo hombre lúcido y activo es o será fascista si no tiene una lealtad que se lo impida". Pero está claro que esa lealtad, que para Malraux había sido para con la República Española, era en mi caso para con Israel. Y así seguiría siendo. Aunque no en la misma forma a lo largo de los últimos treinta y cinco años.

En ese lapso pasaron muchas cosas. En la Argentina en la que me crié se sucedieron las dictaduras. De hecho, el ciclo militar ya estaba iniciado en 1967: el general Onganía había dado su golpe de estado un año antes de la Guerra de los Seis Días. El interregno teóricamente democrático entre los generales de los años sesenta y los de los setenta fue cubierto por José López Rega y la Triple A. El antisemitismo formó parte de los programas de gobierno desde Onganía en adelante, y se reforzó con Videla y sus sucesores inmediatos, amparados económicamente por una Unión Soviética ya en plena descomposición, que sustituía a los Estados Unidos de Jimmy Carter en el papel de cliente predilecto desde el momento en que el presidente americano ordenó el embargo del comercio con un gobierno que tan abierta y claramente violaba los derechos humanos.

Los judíos fueron perseguidos y exterminados: el número de ciudadanos judíos entre los desaparecidos y los exiliados es brutalmente desproporcionado en relación con su presencia en la sociedad general. Un sistema perverso de leyes fiscales instaurado a partir de 1976 –el beneficio de la exención total de impuestos para los inmigrantes del sudeste asiático, que así competían con todas las ventajas desde el principio– expulsó a los judíos del pequeño comercio. Durante la etapa menemista, con un presidente corrupto y vinculado familiar y políticamente a Siria, tuvieron lugar dos de los mayores atentados antisemitas previos al 11 de setiembre de 2001: la voladura de la embajada de Israel y la de la AMIA (Asociación Mutual Israelita Argentina), con una cantidad de víctimas aún no precisada, y que contaron con la tolerancia culpable del gobierno y de una parte de los jueces, dedicados a obstaculizar cualquier investigación y a poner pegas de toda clase al dignísimo magistrado instructor, Juan José Galeano. Mis amigos judíos de la adolescencia que no desaparecieron, ni se exiliaron ni fueron asesinados en atentados volvieron a ser judíos, lo que nunca habían dejado de ser a pesar de sus esfuerzos por ser comunistas, antisionistas y hasta peronistas. Y en ese proceso fueron descubriendo los valores de las sociedades abiertas, cuyo conjunto apenas si relativamente homogéneo llamamos Occidente.

En España, mi otro país, cuya nacionalidad poseía por legado paterno, descompuesto el régimen que tenía por enemigo principal una supuesta conjura judeo-masónica, el gobierno del PSOE estableció relaciones con el Estado de Israel porque no le quedaba más remedio si quería tener una imagen de recibo en la Unión Europea. Medió en ello Bruno Kreisky. Pero Felipe González no dio la talla en ningún momento. La cosa no le gustaba. No fue capaz de ponerse una kipá ante el Muro de los Lamentos y, como debía llevar la cabeza cubierta, acabó disfrazándose con una gorra de taxista. El que en aquel momento hacía las veces de presunto sucesor suyo, Javier Solana, acabó estando a cargo de la política exterior común de la Unión Europea, y ni él ni su delegado en Oriente Medio, el señor Moratinos, ocultaron su simpatía por Arafat, a quien, según propia confesión, le escribían discursos. Ni su simpatía ni su amistad, cosa que al menos González disimuló. Es cuando menos curioso que estas gentes, que asumen la representación de Occidente como dirigentes de la Europa comunitaria, no intenten al menos una explicación coherente de su cerril oposición al único Estado democrático de esa parte del Mediterráneo.

En 1991 sobrevino la Guerra del Golfo. Otra oportunidad para definirse. Y lo hicieron casi todos. Desde la izquierda pacifista, con su pretensión de que nadie se defienda, hasta una España miembro de la OTAN que participó a regañadientes y una Unión Europea que cubrió el expediente formal, tal vez porque sus miembros hegemónicos temían que saliera a la luz lo que finalmente, en 2002, salió: que Alemania y otros socios habían estado armando a Irak. Fue un auténtico despliegue de argucias para hablar contra la guerra sin decir lo que, al día siguiente de la invasión de Kuwait, se evidenció como objetivo central de Sadam Husein y puso de su lado a los palestinos: el arrasamiento de Israel, a cargo de los misiles iraquíes y como parte del gran proyecto panárabe de Bagdad.

La apoteosis, desde luego, fue la destrucción de las Torres Gemelas de Nueva York. Muchas barbaridades se habían oído antes de eso, pero las que se oyeron después fueron piezas destacadas de la antología del disparate. Desde las celebraciones palestinas hasta los comentarios de café acerca de lo mucho que habían hecho los americanos del norte para merecer ese desastre, pasando por las declaraciones de los popes de la izquierda, desde Noam Chomsky hasta Eduardo Galeano. Y se puso de manifiesto algo que ya era sabido por los que queríamos saber de esas cosas: que el antiamericanismo reinante en la Europa de hoy, con hegemonía alemana y simpatías proárabes, es una de las formas que adquiere el antisemitismo de siempre. En síntesis, lo que venían a decir las luminarias del pensamiento político no político era que ellos no tenían nada contra los judíos, pero sí contra el sionismo y contra el imperialismo que lo alienta y lo protege. Y sionistas somos todos los que creemos que Israel tiene derecho a existir, y proimperialistas todos los que consideramos que, hasta la fecha, Occidente, con todas sus lacras y sus miserias, representa el nivel de convivencia más alto alcanzado por grupo humano alguno a lo largo de la historia.

Lo que fui aprendiendo por el camino, desde la Guerra de los Seis Días hasta aquí, Malraux mediante, experiencia política mediante, es que este sistema, el pacto que denominamos democracia y el pacto que denominamos Estado como marco de garantías, merece ser defendido contra todas las alternativas concebidas hasta hoy. Que al cabo del tiempo vaya a ser superado es ley de la historia. Pero la idea de que alguno de los regímenes hoy existentes en otras partes del planeta esté llamado a encarnar esa superación pertenece al campo de las perversiones ideológicas, alimentadas por gurúes en nómina del poder. Nadie en su sano juicio puede decir hoy que es mejor la vida en Arabia Saudí, en China o en Cuba que en los odiados Estados Unidos o en la culposa y culpable Europa. Y nadie en su sana moral puede decir que la pervivencia de esos regímenes sea un derecho de los pueblos que los padecen y que, por emplear el término staliniano aún en boga, no se autodeterminan.

Pero Occidente, la suma de los países que viven en el marco de un Estado democrático, la suma de las sociedades abiertas, dista mucho de ser un todo coherente. Europa hizo a lo largo de todo un siglo denodados esfuerzos por apartarse de esa corriente general: el nazismo y el comunismo fueron ante todo grandes movimientos antioccidentales, en los cuales el elemento antidemocrático era sólo una muestra más de deseo de acabar con una cultura y con un estilo de convivencia definido a principios del siglo XX. Se necesitó la intervención de los Estados Unidos en dos guerras mundiales para poner el continente en el camino de las sociedades abiertas, y aun así, los coqueteos germánicos con el mundo islámico, que durante las dos contiendas fueron concretas alianzas, representan un riesgo constante de desvío. La América hispánica, la parte más pobre de Occidente, ha sido y es el escenario propicio para los populismos autoritarios, en general germanófilos, antiamericanos y antisemitas, desde el manifiesto doctrinal de Lugones hasta Hugo Chávez, quien además simpatiza con el islam.

Puesto que hasta los Estados Unidos, potencia paradigmática de un way of life, lo han puesto en peligro en más de una ocasión con apuestas equívocas en su política exterior, visto que Europa e Hispanoamérica han generado una amplia variedad de sistemas de poder enemigos de la convivencia democrática, sólo el resto de Occidente, es decir, Israel, ha venido realizando sin fisuras desde su nacimiento, hace medio siglo, y pese a estar en pie de guerra durante todo ese tiempo, los ideales democráticos occidentales de convivencia y de gobierno. Imagino que no en vano es un Estado en el que, en términos demográficos, predominan los ciudadanos que alguna vez han sido perseguidos por el nazismo, el fascismo, el comunismo, las dictaduras del sur de América y otros freaks de lo que, a falta de un nombre mejor, seguimos llamando pensamiento político. El único Estado, además, en que impera la noción republicana de "un hombre, un voto", con todas las complejidades y complicaciones a que ello da lugar. El pueblo judío, por otra parte, corresponde apuntarlo, es el único que, desde David y los Macabeos hasta 1948, carece de historia militar.

En estos días difíciles de la historia de Occidente, en los que una vez más –la cuarta desde 1870, la quinta desde la Santa Alianza– está en peligro el magro marco de garantías de las que habíamos conseguido dotarnos –la ONU, la OTAN, la UE son organizaciones podridas hasta los huesos–, la solidaridad con Israel es, quizá más que nunca antes, el único compromiso válido con la modernidad, con el pensamiento libre y con la estabilidad democrática.

Hace unos años, yo pensaba que, si caía Israel, el resultado inmediato sería un pogromo planetario, con cosacos y SS de todos los colores en una prolongada matanza, ya no industrial, como en los lager, sino artesanal, hasta acabar con el último judío. Ahora sé que no será así, que no cesará con el último judío, sino con el último lector, el último escritor, el último músico, el último científico, el último hablante. Si Israel cae, la sharia se impondrá en el estilo Pol Pot, con la colaboración de los mismos que miraron con simpatía a los jémeres rojos, víctimas del imperialismo y otras majaderías. Si Israel cae, habrá un Reich de mil años, un terrible retorno a las edades oscuras.

Mea culpa de la CIA por los informes erróneos sobre Irak



Este verano, con seis años de retraso, la CIA ha hecho público finalmente el documento de "mea culpa" por los informes erróneos que hizo llegar al presidente George W. Bush sobre las armas de destrucción masiva de Irak.

El documento, que publica en exclusiva Foreign Policy, establece que el Gobierno de Sadam Husein paró sus programas para la fabricación de arsenales químicos tras la primera Guerra del Golfo en 1991.

Los informes previos al conflicto indicaban que era posible que Irak hubiese almacenado al menos 100 toneladas métricas de armas químicas.

En el último año, las autoridades del espionaje, incluyendo el ex director de la CIA George Tenet, admitieron que al menos algunas partes de la evaluación sobre la capacidad bélica de Irak estaban equivocadas.

(via)


miércoles, 5 de septiembre de 2012

¿Cuántos millones de 'segadors' esta vez?

Ya tenemos cerca la manifestación del 11-S, la 'Diada" nacional de Cataluña. Como la prensa del régimen, o sea toda, al día siguiente dirá que han ido unos cuantos millones de personas, aquí os ofrecemos una herramienta clave para saber lo que habrá pasado.

He aquí el recorrido, según lo publica el periódico La Vanguardia:

"La cabecera de la manifestacion se situará a la altura de Paseo de Gracia con Gran Vía, tras recorrer una parte de Gran Vía se desviará por Pau Claris, después avanzará por Vía Laietana subasta Marquès de l'Argentera, y allí recorrerá el último tramo subasta Las Puertas del Parque de la Ciudadela, Donde está el Parlamento catalán. Para no colapsar la marcha en suspensión inicios, la ANC Recomienda a los Asistentes empezar el recorrido por los Jardines Salvador Espriu, en lo alto del Paseo de Gracia".


Los m2 del área del recorrido son 131.951, calculados desde los Jardines Salvador Espriu hasta el Parlamento de Cataluña -en amarillo en la foto- sin descontar árboles, bancos, parterres y espacios ocupados varios, o sea que de hecho son menos m2.

Información sacada del periódico El País:
"En marchas con poca densidad, los Expertos y Fuerzas de Seguridad coinciden en que la ocupación es de una persona por cada metro cuadrado. En manifestaciones con mucha densidad es de un máximo de cuatro".
131.951 m2 * 1 pers/m2 = 131.951 manifestantes
131.951 m2 * 2 pers/m2 = 263.902 manifestantes
131.951 m2 * 3 pers/m2 = 395.853 manifestantes
131.951 m2 * 4 pers/m2 = 527.804 manifestantes

Se debe tener en cuenta que estos resultados suponen una densidad constante a lo largo de la manifestación, esto quiere decir que cuando la cabecera de la manifestación llegue al final (Parlamento de Cataluña) debe haber la misma densidad en el punto de inicio (Jardines de Salvador Espriu), unos 4 kilómetros en total. También se debe tener en cuenta que hay gente fuera del recorrido oficial, pero en densidades menores.

Los organizadores saben que en este espacio no pueden colocar más gente y si no eligen un espacio más formidable, como la Diagonal de arriba a abajo (unos 450.000 m2), es porque tienen una conciencia exacta de su limitada capacidad de movilización.

Con estos datos haré un pronóstico: en el mejor de los casos, aunque es muy improbable, asistiran a la manifestación 250.000 personas (un kilómetro con una densidad media de 3 personas en el recorrido oficial, más otras personas en las calles laterales). FC


martes, 4 de septiembre de 2012

Crucifixión en el Yemen

La actualidad del pensamiento de Tocqueville sobre el socialismo y los socialistas



(Via)

Bis repetita placent (Las cosas repetidas gustan)

(Via)

Los alimentos orgánicos no son más saludables

Hay muchas causas para comprar alimentos orgánicos (o ecológicos en la terminología más frecuente en España), pero sus propiedades saludables no son una de ellas. Esta es la principal conclusión de un metaanálisis (estudio de estudios) que ha hecho un equipo de la Universidad de Stanford (EE UU) en el que han revisado dos centenares de trabajos publicados. Si acaso los autores afirman que los productos cultivados o criados de una manera más natural tienen una menor concentración de pesticidas, aunque los otros también están por debajo de los límites saludables. El trabajo lo publica Annals of Internal Medicine.

lunes, 13 de agosto de 2012

Hay más delincuencia en Europa que en Estados Unidos

Un estudio de los italianos Paolo Buonanno, Francesco Drago, Roberto Galbiati y Giulio Zanella: comparando la evolución de la criminalidad entre Europa y EEUU concluye que tanto los delitos contra la propiedad como los violentos, salvo los homicidios, son más elevados en Europa que al otro lado del Atlántico.

Contrariamente a la percepción común, los crímenes de hoy en día, tanto de la propiedad como los violentos (con la excepción de los homicidios) son más comunes en Europa que en los EE.UU [...] Llamaremos a este hecho la “revocación de las desgracias”. En el paper investigamos el impacto de los cambios demográficos, el encarcelamiento, el aborto, desempleo y la inmigración sobre la delincuencia.

Para ello se utilizan datos de series temporales (1970-2008) de siete países europeos [entre ellos España] y Estados Unidos. Encontramos que la estructura demográfica de la población y la tasa de encarcelamiento son determinantes a la hora de incidir en la delincuencia. Nuestros resultados sugieren que una política de reclusión más dura puede ser más eficaz para combatir la delincuencia en Europa. El análisis no proporciona información sobre cómo la política carcelaria debe ser más ni tampoco dar una respuesta a lacuestión de si tal política también sería eficaz desde el punto de costo-beneficio de vista. Dejamos esto para futuras investigaciones.

(Via)

martes, 31 de julio de 2012

¿Pero no habíamos quedado que no tenía?

Ranking de los principales sueldos públicos (brutos)


Xavier Trias, alcalde de Barcelona (CiU)
€ 146.739

Artur Mas, presidente de la Generalitat (CiU)
€ 144.030,12

Salvador Esteve, presidente Diputación Barcelona (CiU)
€ 115.723,72

Xabier Mikel Errekondo, diputado por Guipúzcoa (Amaiur)
€ 113.276,22

Jaime Javier Barrero, vicepresidente 2 º del Congreso (PSOE)
€ 102.255,92

María Dolors Montserrat, videpresidenta 3 ª del Congreso (PP)
€ 102.255,92

Ana María Botella, alcaldesa de Madrid (PP)
€ 101.987

Patxi López, lehendakari de Euskadi (PSE-PSOE)
€ 100.696

María Soraya Rodríguez, diputada por Valladolid (PSOE)
€ 98.625,48

Yolanda Barcina, presidenta de Navarra (UPN)
€ 92.532,61

Mariano Rajoy, presidente del gobierno de España (PP)
€ 72.600,36

Paulino Rivero, presidente de Canarias (CC)
€ 81.562,92

José Antonio Monago, presidente de Extremadura (PP)
€ 81.363,52

Esperanza Aguirre, presidenta de Madrid (PP)
€ 81.000, sin contar trienios

Luisa Fernanda Rudi, presidenta de Aragón (PP)
€ 80.974,92

Ramón Luis Valcárcel, presidente de Murcia (PP)
€ 68.981,88

Juan Vicente Herrera, presidente de Castilla y León (PP)
€ 68.982

Alberto Fabra, presidente Generalitat Valenciana (PP)
67.615, 92

Alberto Núñez Feijóo, presidente de Galicia (PP)
€ 67.104,04

Pedro Sanz, presidente de La Rioja (PP)
€ 67.055

José Ramón Bauzá, presidente Islas Baleares (PP)
€ 65.585

José Antonio Griñán, presidente de Andalucía (PSOE)
€ 63.808

Javier Fernández, presidente de Asturias (PSOE)
€ 63.710

Juan Ignacio Diego Palacios. presidente de Cantabria (PP)
€ 59.535

María Dolores de Cospedal, presidenta de Castilla-La Mancha (PP)
no disponible

MÁS INFORMACIÓN, AQUÍ.